31 juillet 2011

Point travaux : Juillet 2011

Lot maçonnerie : 2 travées d'échafaudage - sur les 3 prévues - destinées à supporter l'étaiement des voûtes sont installées dans le bas côté Sud ...
... les maçons poursuivent la confortation du mur de la tourelle d'accès au clocher et, en concertation avec les charpentiers, réglent la maçonnerie d'arase pour la pose de la charpente.

Lot couverture-charpente :
la charpente de la tourelle est posée pour une couverture, en cuivre, de faible pente, à l'identique de la disposition existante.
Le versant Nord est liteauné, sur film plastique :
Un échantillon de panachage de tuiles est effectué, et sera présenté à l'agrément de l'Architecte des Bâtiments de France :




11 juillet 2011

Point travaux : Juin 2011

Lot couverture-charpente : dans l'attente de l'arasement du mur gouttereau nécessaire à la rénovation de la charpente Sud, les deux versants ont été découverts.

Les tuiles ont fait l'objet d'un premier tri en vue de leur remploi : les tuiles mises de côté et stockées sur les échafaudages seront triées une deuxième fois, puis, avant repose, une toisième. L'édifice est protégé par une bâche blanche.


Lot maçonnerie : empêchés de poursuivre l'arasement du mur gouttereau du bas côté Sud tant que les voûtes ne sont pas étayées, les maçons travaillent à la réfection des murs extérieurs de la tourelle du clocher et du pignon du bas côté.

L'état dégradé des murs nécessite un long travail de confortation :
- fichage et nettoyage des mortiers réduits en poussière, remplacement de moellons et rejoinroiement de l'ensemble.
- reconstitution, à l'identique, en pierre de taille, des bandeaux.














10 juillet 2011

Point travaux : les craintes justifiées

Le constat
Le mauvais état général des voûtes du bas côté Sud et le décollement plus ou moins prononcé des voûtes par rapport au mur gouttereau (conséquence du tassement du clocher vers le Sud) étaient bien sûr connus et pris en compte.

Plus particulièrement encore après la mise en garde des architectes de la Sauvegarde de l'Art Français, les entreprises étaient invitées à respecter scrupuleusement les consignes de sécurité et à prendre toutes les précautions nécessaires pour effectuer leur travail.

Connue donc, mais peut-être sous estimée, la fragilité des voûtes s'est révélée encore plus évidente une fois le dessus des voûtes nettoyé des poussières, fientes de pigeons et débris de tuiles cassées.
Les conséquences

Le danger occasionné par la fragilité des voûtes du bas côté Sud perturbe la poursuite normale des travaux et nécessite l'étaiement de 3 des 5 voûtes.
Le Conseil Municipal a approuvé le devis proposé et a retenu la solution d'un étaiement "lourd" qui, installé courant Juillet, permettra non seulement de reprendre le cours logique des travaux mais aussi, éventuellement, le moment venu, la réfection des dites voûtes.
Le nécessaire étaiement retarde le chantier, et forcément augmente le montant des travaux (d'environ 20 000 € HT)...

... qui pourrait être majoré du coût de réfection des voûtes, si, comme le Conseil Municipal le souhaite, les travaux de réfection des voûtes peuvent se faire.